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Plus il y a de personnes très riches, plus il y a d'écarts de richesses et plus il y a de pauvreté, de violence et de délinquance. C'est logique.

La Première solution pour réduire la pauvreté est de faire en sorte que les personnes riches (actionnaires, entreprises, gouvernants...) n'aille pas dans l'outrance ou dans la folie des grandeurs qui précarise les citoyens de ce monde. Il y a des produits et services dont les prix de vente n'ont plus rien à voir avec le coût réel du produit ou du service en question. Pour résumer, une heure de salaire permet d'acheter un bien dont la réelle valeur est seulement quelques minutes de travail. D'ou la paupérisation des masses.

Ainsi la pauvreté malgré les associations qui font ce qu'elles peuvent pour aider les personnes à s' en sortir dépends uniquement de la volonté des riches (marché financiers, actionaires, gouvernants...). Idem pour le chômage qui permet de faire une pression des salaires à la baisse.

Mais si la pauvreté est une variable d'ajustement des personnes riches alors cela signifie aussi que la délinquance, les forces de police et la violence découle aussi de cette répartition équitable ou pas entre le travail, le capital, et l'entreprise. Les entreprises semblent l'avoir compris, elle préfère des polices privées, des polices publiques plutôt que la justice sociale facteur de paix en général.

Ainsi nous avons le choix entre une vision humaine de la société ou une vision marchande de la société. Pour que le politique reprenne la main sur les sociétés (privés) qui destabilisent nos sociétés démocratiques il faut que les grands bailleurs de fond de la planète soient sous tutelles des états afin de retrouver une société humaine.

Dieu n'est pas responsable des malheurs, c'est l'homme qui décide de faire le bien ou la mal en général.